L'Attente
Celui-là, je l'ai écrit en mars 2007, pendant la période où j'attendais de savoir si j'étais admissible aux écrits du capes, et donc si j'allais pouvoir passer les épreuves les plus importantes : les oraux du mois de juin.
Dessous le ciel de plomb
Le temps paraît bien long
A ceux qui voient dans l'onde
Les larmes du passé
A ceux pour qui le monde
S'est pour un temps figé
Le visage tourné vers la mort et la peine
Dans l'attente sans fin d'une espérance vaine
Dessous le ciel de plomb
Le temps paraît bien long
A ceux qui sous la pluie
Voient leurs espoirs brisés,
A ceux pour qui la vie
N'est que suite d'arrêts
Le visage levé vers la douleur la peine
Dans l'attente sans fin de l'espérance vaine
Dessous le ciel de plomb
Le temps paraît bien long
A ceux qui sous la pluie
Voient mourir le passé
A ceux pour qui la vie
S'est à jamais figée
Le regard affligé par la douleur la peine
Dans l'attente sans fin d'une espérance vaine
©eryndel
Dessous le ciel de plomb
Le temps paraît bien long
A ceux qui voient dans l'onde
Les larmes du passé
A ceux pour qui le monde
S'est pour un temps figé
Le visage tourné vers la mort et la peine
Dans l'attente sans fin d'une espérance vaine
Dessous le ciel de plomb
Le temps paraît bien long
A ceux qui sous la pluie
Voient leurs espoirs brisés,
A ceux pour qui la vie
N'est que suite d'arrêts
Le visage levé vers la douleur la peine
Dans l'attente sans fin de l'espérance vaine
Dessous le ciel de plomb
Le temps paraît bien long
A ceux qui sous la pluie
Voient mourir le passé
A ceux pour qui la vie
S'est à jamais figée
Le regard affligé par la douleur la peine
Dans l'attente sans fin d'une espérance vaine
©eryndel